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Ce que j'ai appelé les "peintures noires" étaient réalisées sur des panneaux de contreplaqué avec des peintures acryliques souvent mélangées avec du sable. Constituées d'un ensemble de scènes fantastico-érotiques, elles mesuraient à peu près 1,20 m de haut et pouvaient s'assembler de façon à construire une sorte de bande dessinée murale. Les images arrivaient comme les vignettes d'un story-board pour la réalisation d'un film.
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